Sweet Sixteen (2002, Angleterre)
Cet opus, dans la lignée moins militante et plus désespérée, reprend avec finesse le thème d’un certain déterminisme social. Les personnages sont subtils, complexes et la caméra les suit avec un recul très humain, ni témoin ni acteur, nous rapprochant de cette famille plongée au cœur du drame social. La drogue reste au centre de cette machine à détruire la société, mais derrière elle se cache l’ambition de s’en sortir et l’argent qui gouverne le monde et détruit les familles.
Auteur : Loach Ken, Angleterre, 2002
♥ Agréable, sans plus
The Navigators (2002, Angleterre)
Un Ken Loach comme tant d’autres. Si l’on n’est pas au courrant de la situation catastrophique de l’Angleterre d’après la dame de fer (et finalement aussi de Blair), ça informe (mais c’est un peu tard pour ceux qui n’ont pas encore compris). Si l’on est au courant, ça rassure: ils sont vraiment mal. Et c’est triste d’en arriver à aller voir le malheur au lieu de lutter.
Auteur : Loach Ken, Angleterre, 2002
♥ Agréable, sans plus
My name is Joe (1998, Angleterre)
Auteur : Loach Ken, Angleterre, 1998
♥ Agréable, sans plus
Carla’s Song (1996, Irlande)
Auteur : Loach Ken, Irlande, 1996
♥♥ Très bien, à conseiller
Land and freedom (1995, Angleterre)
Auteur : Loach Ken, Angleterre, 1995
♥♥♥ Excellent