La légion saute sur Kolwezi (1979, France)
Kolwezi, au Zaïre. Trois mille mineurs européens sont retenus en otage par des rebelles en lutte contre le gouvernement zaïrois…
Auteur : Coutard Raoul, France, 1979
♥ Agréable, sans plus
Embrassez qui vous voudrez (2002, France)
Se souvenir que Michel Blanc n’est pas un bon réalisateur, mais uniquement un ego-maniaque qui est obligé de faire des films pour se montrer. Dommage que Dutronc se perde avec sa nonchalance habituelle dans ce vaudeville sans propos.
Auteur : Blanc Michel, France, 2002
Médiocre
A propos de « Buongiorno, notte »
Objet: A propos de « Buongiorno, notte » de Marco Bellocchio
Date: 7 février 2004 14:17:24 GMT+01:00
Quelques petits compléments après avoir vu ce film…
…qui aura au moins lancé le débat.
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Nothing So Strange (2003, USA)
When Microsoft chairman Bill Gates was shot dead on December 2, 1999, it was a tragedy that resonated throughout the world. But as time wears on, that tragedy has developed into a mystery for many observers, who see police misconduct and a cover-up where others see an open-and-shut case. NOTHING SO STRANGE follows the efforts of an organized group of these skeptics, who call themselves Citizens for Truth, as they launch an aggressive independent investigation of the Gates assassination and in the process confront the LAPD, a hostile mainstream press, and the group’s own internal squabbles. With never-before-seen amateur footage of the Gates assassination, hypnotic 3D recreations of the various aspects of the crime, and almost unlimited access to the inner workings of Citizens for Truth, NOTHING SO STRANGE is ultimately both personal and political-an intimate portrait of average citizens on a search for the truth, as well as a revealing look at the last great crime of the 20th Century.
Auteur : Flemming Brian, USA, 2003
♥ Agréable, sans plus
Buongiorno, notte (2003, Italie)
Magnifique fiction romancée sur l’enlèvement, la condamnation, les limites humaines du terrorisme.
Dommage que Bellocchio ait choisi d’appuyer son film sur un fait réel, l’enlèvement et l’exécution d’Aldo Moro par les Brigades Rouges. Certes c’était une commande de la RAI. Dommage car la plongée dans une ambiance quasi-onirique est la force du film où se mêlent un enlèvement, les contradictions des terroristes, leurs doutes, les questions même de leur victime.
Dommage aussi, puisqu’il choisit un fait réel, d’évacuer totalement la responsabilité historique des acteurs de cet événement.
Si vous souhaitez en savoir plus sur l’aspect historique, j’ai récolté quelques éléments complémentaires
Auteur : Bellocchio Marco, Italie, 2003
♥ Agréable, sans plus
Buffalo Soldiers (2001, USA)
Joaquin Phoenix excelle dans le rôle trouble d’un soldat US basé en Allemagne et impliqué dans tous les trafics possibles sur la base. Une autre version des derniers jours de l’empire américain.
Auteur : Jordan Gregor, USA, 2001
♥♥ Très bien, à conseiller
Top Gun (1986, USA)
Devenu un classique du genre histoire de pilotes, gros avions, méchants Russes bien maladroits et gentilles instructrices. Les scènes aériennes restent excellentes, et le mythe Tom Cruise semble être né de ce film, déjà dans un rôle de musclé au cœur d’or et peu intelligent, il a essayé de s’amélioré depuis sans grand succès.
Auteur : Scott Tony, USA, 1986
♥ Agréable, sans plus
The Rock (1995, USA)
Un film d’action pur, G.I.s contre G.I.s, avec Sean Connery en vétéran des SAS, roi de l’évasion, et Nicolas Cage en spécialiste des armes bactériologiques (il va devoir s’approcher de l’une des pires). Finalement, au-delà de l’adrénaline, ce film montre jusqu’où sont allés nos amis US en terme de non respect des conventions internationales (on l’a appris depuis, le VX a effectivement été utilisé, voire commercialisé).
Auteur : Bay Michael, USA, 1995
♥♥♥ Excellent
Anatomie de l’enfer (2004, France)
Breillat voudrait être Duras, celle de la période alcool, mais n’y parvient décidément pas. Breillat veut provoquer, mais est-ce encore possible à l’âge des snuff movies? Finalement, seul Siffredi s’en sort bien car on le découvre, encore meilleur acteur que dans le précédent Breillat.
Auteur : Breillat Catherine, France, 2004
Médiocre
RRRrrrr!!! (2004, France)
Les gags sont passables, et surtout ne durent pas tout un film. Chabat semble même s’en rendre compte au cours du long-métrage et change légèrement son fusil d’épaule. Difficile de raconter l’âge de pierre de façon drôle avec pour tout propos l’invention du crime, et pour tout humour quelques jeux de mots et anachronismes (drôles au demeurant)
Auteur : Chabat Alain, France, 2004
♥ Agréable, sans plus
Violence des échanges en milieu tempéré (2004, France)
La découverte du conseil en stratégie par un jeune homme sorti de l’école. Découverte aussi d’une relation amoureuse plus sérieuse. Découverte de l’impossible compromis entre réussite dans le monde cynique des fusions industrielles et humanisme. Pas toujours très fidèle à la réalité du métier de consultant (Moutout mélange plusieurs métiers pour mieux illustrer son propos), mais au moins il ne transige pas sur l’ambiance noire à souhait.
Auteur : Moutout Jean-Marc, France, 2004
♥ Agréable, sans plus
The Battle of Shaker Heights (2003, USA)
Un lycéen passionné par les guerres et l’armée a un peu de mal à s’imposer face à ses camarades de classe et à entrer dans le jeu de la séduction. Parfois amusant, mais trop inégal, aussi bien dans le scénario que dans le jeu d’acteurs.
Auteur : Potelle Efram, Rankin Kyle, USA, 2003
♥ Agréable, sans plus
Battle Royale II (2003, Japon)
sur battleroyaledvd.com C’est osé. Déjà Battle Royale dérangeait par sa violence crue, entre adolescents de surcroît. Ici la violence devient plus « classique » puisque armée, en uniforme. Mais le message de malaise profond du premier épisode est complété par une déclaration de guerre plus claire, plus politique. Ici la menace n’est pas uniquement l’état décrépit et cynique, mais les Etats-Unis d’Amérique. La réponse proposée est la guérilla et le terrorisme au nom de la liberté, au nom des enfants victimes de cet impérialisme sans borne. A noter l’ode à l’AK47 et le rappel des victimes des Etats-Unis dans deux scènes assez séparées du cours de l’action pour être plus des messages que de simples éléments de l’histoire. Reste la réalisation plutôt honnête, et le jeu d’acteur plutôt bon pour des adolescents.
Auteur : Fukasaku Kinji & Kenta, Japon, 2003
♥♥♥ Excellent
American Splendor (2003, USA)
Une adaptation pas trop réussie de la BD en forme de mise en abîme (le film raconte la vie d’Harvey Pekar qui raconte sa vie dans une BD trash).
Auteur : Springer Berman Shari, USA, 2003
Médiocre
Le sourire de Mona Lisa (2004, USA)
Tout en respectant un certain académisme cinématographique, Newell nous raconte l’irruption d’une jeune enseignante moderne et féministe dans le monde policé de l’enseignement de la côte Est. Julia Roberts est dans son élément, et certains seconds rôles se débrouillent pas mal. Sans prétentions démesurées mais agréable.
Auteur : Newell Mike, USA, 2004
♥♥ Très bien, à conseiller
28 Days Later (2002, Angleterre)
Des moments dignes de « la nuit des morts vivants ». Horribles. Et souvent gratuitement. Tout ça pour nous dire que l’homme tue l’homme, et ne voit son futur que dans la femme? Le scénario n’est pas dénué de subtilité, mais trop axé sur la vaine provocation. Les acteurs sont corrects, sans plus.
Auteur : Boyle Danny, Angleterre, 2002
Sans aucun intérêt
Wargames (1983, USA)
Un retour en adolescence, toujours bien sympa, on voit venir la suite à chaque scène, mais se moquer des apôtres du tout automatique, de la bêtise des généraux qui confine à celle des machines, ça fait du bien. Par ailleurs, le rythme n’a pas trop vieilli, ce qui en 20 ans est une prouesse, et le genre hacker ne s’est finalement pas réellement renouvelé depuis.
Auteur : Badham John, USA, 1983
♥♥ Très bien, à conseiller
Independance Day (1996, USA)
Gros moyens, bons américains xénophobes, et qui se justifient (si l’on avait tiré les premiers, on aurait sauvé des vies). Seuls moments réjouissants, les scènes d’action bien menées, et la propagande pro-sémite (au moins de ce côté-là on évite la xénophobie, c’est déjà ça).
Auteur : Emmerich Roland, USA, 1996
♥ Agréable, sans plus
The Day the Earth Stood Still (1951, USA)
Le film a un peu vieilli, surtout dans son rythme, mais il reste tellement pertinent (cf. Independance Day, mais pas seulement). Un film à voir et revoir pour ne pas oublier de réfléchir.
Auteur : Wise Robert, USA, 1951
♥♥ Très bien, à conseiller
The Blues Brothers (1980, USA)
« Tagline: They’ll never get caught. They’re on a mission from God. », un moment extraordinaire, de musique, d’action et de folie.
Auteur : Landis John, USA, 1980
♥♥♥ Excellent