24 heures de la vie d’une femme (2003, France)
Laurent Bouhnik est fasciné par l’esthétique de Sweig, ce qui est naturel, ce qui le pousse dans son film à faire se succéder des plans magnifiques, très construits, proche de tableaux. Cette vision correspond assez bien à l’écriture de Sweig, mais l’éloigne d’une réelle interprétation cinématographique, libre et en mouvement. Les très belles images sont trop statiques et le texte, calme et très bien dit par de bons acteurs, est trop éloigné de l’action, la raconte plus que ne l’anime.
Auteur : Bouhnik Laurent, France, 2003
♥ Agréable, sans plus