Localnet
J’ai le bonheur d’avoir un adorable iMac 2002 à la maison depuis avril 2002.
C’est une machine agréable à utiliser, suffisamment esthétique pour être présente dans mon salon et qui me permet aussi bien de surfer sur Internet, d’écouter de la musique, regarder des bandes annonces et des DVDs (remplacés progressivement depuis 2003 par leur version fichier mpeg4 ou avi), faire un peu de bureautique (ce site, quelques travaux professionnels que je termine chez moi), développer en Java, faire un peu de SQL, découvrir l’encodage de vidéos, etc.
En novembre 2003, l’iMac a été rejoint par un iBookG4,
remplacé début 2005 par un powerBookG4 pour des raisons professionnelles.
Fin 2005, le powerBook a trouvé un nouvel utilisateur, plus nomade que moi, mais pour accompagner l’iMac, un peu vieillissant au bout de 3-4 ans,
un macMini a trouvé son chemin dans le salon.
L’iMac est maintenant « relégué » aux rôles de téléphone internet, machine de sauvegarde, et jukebox de CDs. Cela a aussi été l’occasion de passer la barre des 1000 Go de stockage, 1,5 To pour être exact.
Ces deux derniers achats ont été l’occasion de deux très bonnes affaires, bon karma sans doute, et j’ai ainsi pu passer sous la barre des 1€/Go, ce qui est assez satisfaisant pour un investissement progressif depuis 2002.
Pourquoi un (deux même) Mac? Pourquoi n’ai-je pas acheté ou assemblé un PC ? En fait, mon choix était ouvert lors de ces achats (hors celui du powerBook), mais même à prix à peu près égal, le système d’exploitation a emporté mon choix. Lors de l’achat de l’iMac, certains PCs étaient comparables dans une fourchette de 10-15% moyennant quelques compromis, lors de l’achat de l’iBook ou du macMini, il n’y avait pas de réelle concurrence répondant à mon cahier des charges (suffisamment performant pour mon usage, silencieux, autonome et léger pour le portable, extensible peu encombrant pour le fixe).
Par rapport à WindowsXP, MacOsX est fourni avec les mêmes fonctionnalités mais une robustesse et une intégration incomparable ce qui produit une simplicité et un confort appréciables. Sans entrer dans le débat Microsoft contre Apple, le simple fait de reposer sur un véritable socle Unix, séparant utilisateur et administrateur apporte une réelle différenciation en terme de sécurité. Ensuite pouvoir installer et ré-installer applications et système d’exploitation sans risquer de perte de fichiers, de préférences, ou avoir à ré-installer les autres applications apporte un réel gain de temps et de confort.
Par rapport à Linux (ou un autre Unix libre) alternative valable à Windows sur PC, MacOsX a aussi gagné, mais d’une courte tête. J’ai une certaine préférence pour l’excellente intégration du matériel et des logiciels qui devance un peu Linux, j’aime particulièrement l’interface utilisateur, esthétique et pratique, mais c’est là une question de goût. J’avoue que l’intégration des fonctions multi-média avait un temps été un argument, mais plus vraiment actuellement. Si les constructeurs intégraient un peu mieux Linux sur leurs machines, en particulier les portables, plutôt qu’XP et s’ils avaient enfin l’honnêteté de répercuter la différence de prix, on serait sans doute plus proche d’un choix par goût ou par économie.
P.S.: depuis 2005, le Powerbook a été remplacé par un MacBook C2D, l’iMac est parti dans une famille à la campagne, définitivement remplacé par le Mac mini et ses disques durs. Voici ce que cela donne.
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Une réaction to “Localnet”
[…] De la fusion numérique-analogique Après quelques années de bonheur musical et d’une installation informatique sympathique, l’heure de la fusion a sonné. […]