Ghost in the Shell (1995, Japon)

Couverture Un film précédé par sa réputation. Elle est justifiée: en 1995, Oshii prévient des risques d’utilisation des technologies comme moyen d’espionnage d’état, des dérives du pouvoir (humain) qui en résulte car peu maîtrisable. Il annonce aussi l’importance de la diversité, dans le règne animal, mais aussi technologique. Le trait est aussi assez intéressant, classique dans les premiers plans, mais à l’éclairage travaillé, à la superposition « réel/ synthèse) assez nouvelle pour l’époque. La musique de Kenji Kawai est, elle, envoûtante.
Auteur : Oshii Mamoru, Japon, 1995
♥♥♥ Excellent

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